Initiation à la pratique psychothérapeutique auprès de l’enfant (2003). Bossé, M. ; Groupéditions ($49,95) ou L'Harmattan (31,95 euros pour la version papier et 29,99 euros pour la version numérique)

Cet ouvrage couvre les aspects essentiels de la thérapie d’enfants, depuis les modalités définissant le cadre et la forme de communication privilégiée par les enfants jusqu’au travail d’interprétation, en passant par l’intervention auprès des parents, l’implication du superviseur, le déroulement de la thérapie en tant que tel, entre autres sujets. Il sera très utile aux étudiants en psychologie désireux de s’initier à la pratique psychothérapeutique auprès de l’enfant. Il s’adresse également aux praticiens de la psychologie qui, n’ayant pas bénéficié d’une telle formation, veulent se familiariser avec les rudiments de cette pratique infantile.
Pour chacun des deux publics cibles, la lecture de cette initiation ne saurait cependant être considérée comme pouvant remplacer l’assistance éclairée d’un superviseur compétent. Toutefois, bon nombre de superviseurs, à tout le moins ceux qui s’inspirent de la perspective psychanalytique, pourront trouver dans cet ouvrage un instrument utile pour appuyer leur travail pédagogique.
Le mode de fonctionnement affectif de l'enfant: son évaluation par le jeu spontané (2012). Bossé, M. ; Groupéditions ($39,95) ou L'Harmattan (19,47 euros pour la version papier et 14,99 euros pour la version numérique)) .

Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui ont pour tâche de déterminer de quel « terrain » dynamique émanent les symptômes présentés par un enfant au développement affectif en difficulté. L'auteur démontre le remarquable potentiel diagnostique du jeu, non seulement dans la situation initiale d’évaluation mais également tout au long de la thérapie. Au fil des chapitres, il met en relation type de productions ludiques et mode de fonctionnement affectif. Plus d’une cinquantaine de vignettes cliniques étayent la présentation et facilitent grandement l’intégration par le lecteur des indicateurs typiques de chacun des niveaux de développement.
En utilisant un niveau de discours le plus accessible possible, l’auteur s’est préoccupé de rejoindre tout aussi bien les étudiants de psychologie que les praticiens impliqués dans les tâches d’évaluation ou de thérapie de l’enfant.
Cet ouvrage se présente comme un complément indispensable à Initiation à la pratique psychothérapeutique auprès de l’enfant.
Monsieur Jean Bergeret a écrit à l'auteur au sujet de cet ouvrage qu'il constitue "une contribution de pratique clinique caractérisée par le souci de systématisation scientifique et tirée de la clinique et d'une grande connaissance critique de la psychologie contemporaine. Je me reconnais parfaitement dans votre démarche. Vous n'avancez rien sans vouloir en justifier le fondement et théorique et clinique. Bravo! (...) Votre souci d'attirer l'attention des praticiens sur l'avantage de cette forme d'évaluation me paraît tout à fait justifié" (lettre reçue le 11 juillet 2012).
L’analyse en tant que jeux des allégories produites au TAT. Groupéditions ($39,95) ou L'Harmattan (25,97 euros pour la version papier et 19,99 euros pour la version numérique)

La méthode présentée dans cet ouvrage est issue d’une pratique soutenue de l'interprétation des allégories produites en situation de thérapie par le jeu. Elle porte attention au contenu fourni devant chacune des planches du TAT plutôt qu’à la forme dans laquelle ce contenu est livré ou aux éléments caractérisant le contexte de la communication. En mettant l’accent sur le contenu, elle permet une centration sur ce qui est essentiel à la compréhension de la problématique affective du sujet. Une telle centration s’opère d’abord par le repérage du support identitaire sous toutes les formes que suscitent chez le sujet les diverses situations projectives, celles suggérées par le matériel thématique ou celles mises en place par le sujet lui-même dans le jeu spontané. Ces figures représentatives du sujet étant identifiées, il est facile pour le clinicien de mettre à nu le sens des actions qu’elles réalisent ou des situations dans lesquelles elles se retrouvent. L’ensemble de ces données permet de reconnaître rapidement le niveau de développement du sujet ou son mode de fonctionnement affectif. C’est grâce précisément à la connaissance de ce mode qu’on peut véritablement débusquer le sens des symptômes, ceux-ci étant compris comme autant d’appels à l’aide, de protestations ou de tentatives visant à contrer l’anxiété. La psychothérapie qui suit l’évaluation ne peut être véritablement efficace que si elle prend assise sur ce tableau d’ensemble, puisque celui-ci circonscrit de façon précise le terrain sur lequel elle va pouvoir s’instaurer, progresser et donner les bénéfices attendus.
Disponible maintenant chez Groupéditions ou à l'Institut de formation à la psychothérapie par le jeu.
On peut se procurer le TAT à l'adresse suivante: PAR, Inc.: Psychological Assessment Resources
Le CAT: analyse des élaborations prises comme jeux (2015). Bossé, M. ; Groupéditions ($39,95) ou L'Harmattan (25,97 euros pour la version papier et 19,99 euros pour la version numérique)

Cet ouvrage se situe dans le prolongement de "L’analyse en tant que jeux des allégories produites au TAT". L’auteur applique aux allégories élaborées par les enfants devant les planches du CAT la méthode d’analyse qui a démontré sa fécondité dans la précédente contribution. Cette méthode invite le clinicien à centrer son analyse sur le contenu des allégories plutôt que sur certains aspects formels du discours tenu par l'enfant ou certaines caractéristiques liées au contexte de l’évaluation. La première tâche consiste à repérer dans l’allégorie la figure qui représente l’enfant. Cette figure, appelée support identitaire, peut être dans l’image comme en dehors de l’image. La prise en compte des actions ou des intentions du support identitaire permet d’identifier le ou les personnages qui se profilent derrière les autres animaux. Le sens profond de l’allégorie devient dès lors accessible. Il donne un aperçu précis du niveau de développement de l’enfant et, le cas échéant, de ce qui est à la source de sa situation psychoaffective problématique. L’identification de ce sens profond permet dès lors de dégager la nature véritable de l’appel à l’aide ou de la protestation que l’enfant adresse inconsciemment à ses figures parentales par des comportements dysfonctionnels. Tout psychothérapeute d’enfants soucieux de résultats substantiels et durables doit être au fait de cet ensemble de données puisque celui-ci circonscrit de façon précise le terrain dynamique sur lequel le travail psychothérapeutique doit s’engager et se poursuivre jusqu’au terme de la thérapie.
On peut se procurer le CAT à l'adresse suivante: PAR, Inc.: Psychological Assessment Resources
Les indices d'abus sexuel chez l'enfant: comment ils apparaissent dans les productions projectives. (2021); Groupéditions ($39.95) ou L'Harmattan (25,97 euros pour la version papier et 19,99 euros pour la version numérique).

L’enfant victime d’abus sexuels hésite le plus souvent entre deux directions contraires : révéler la situation abusive dont il a été victime ou en garder le secret pour lui, serait-ce au prix de sérieux problèmes de comportement, qui sont pourtant autant d’appels à l’aide. Le désir d’en parler découle entre autres causes du malaise (impression d’avoir été endommagé, sali, etc.) qui le tourmente à chaque instant, de la honte qui l’habite suite au fait qu’il n’a pas su résister à l’agression alors qu’il aurait dû le faire, sentiments dont il aimerait se défaire, cela va de soi. Qu’il choisisse de garder le silence s’explique de plusieurs façons, notamment par la peur de ne pas être cru par les personnes chargées de le protéger en vertu du statut dont jouit l’agresseur, par les menaces de celui-ci l’enjoignant de ne rien dire à qui que ce soit, par la peur des conséquences pour lui ou pour l’agresseur si celui-ci est un familier.
Il s’avère que placé dans un contexte psychothérapeutique, l’enfant victime ne résiste pas longtemps à l’envie de révéler sa situation traumatique, mais il le fait avec le sentiment qu’il ne trahit pas réellement la consigne de garder le silence qu’il s’est imposée ou que l’abuseur lui a imposée. Sans le réaliser tout à fait, il parle de son expérience subie d’abus d’une manière symbolique, utilisant des métaphores et des allégories.
Cet ouvrage propose un inventaire des indices d’abus sexuel qui, au fil des premières séances, surgissent sous cette forme symbolique dans les productions ludiques, thématiques et graphiques. Il lève le voile sur une forme de communication que tout psychothérapeute oeuvrant en pratique infantile doit connaître et maîtriser, de manière à pouvoir aider efficacement l’enfant victime à sortir rapidement de son silence et de sa souffrance.
« Pourquoi j'irais chez la psy, maman?... » (2011). Bossé, M. ; Groupéditions ($22,95) ou 39,95) ou L'Harmattan (19,47 euros pour la version papier et 14,99 euros pour la version numérique)

Cet ouvrage propose aux parents un parcours qui leur permet de prendre connaissance de tout ce qui entoure la référence d'un enfant en psychothérapie par le jeu : motifs habituels de cette référence, justification de la démarche, choix du psychothérapeute, attentes mutuelles des parents et du psychothérapeute quant à leur rôle respectif et modalités à surveiller pour la présentation de la démarche à l'enfant. Cet ensemble d'informations prend pour assises un survol du développement de l'enfant, de même qu'un aperçu des ratés qui peuvent survenir dans ce processus de croissance. Entre ces deux volets s'intercale une présentation de quelques aspects du travail de thérapie, notamment l'utilisation du jeu et ce que celui-ci permet de découvrir au sujet de la dynamique sous-jacente aux symptômes. À la fin du parcours, les parents sont en mesure de répondre aisément à la double question que leur enfant est susceptible de leur poser : « Pourquoi j'irais chez la psy, maman? Je vais faire quoi avec elle? »
S'il est destiné aux parents d'abord, cet ouvrage ne manquera pas d'attirer l'attention de ceux qui ont à interagir sur une base régulière avec des enfants (pédiatres, psychologues, éducateurs, enseignants, etc.) et qui, de ce fait, sont en position de suggérer aux parents une référence en psychothérapie pour leur enfant, si celle-ci leur paraît s'imposer. En outre, il s'avèrera aux yeux des psychothérapeutes un instrument d'information efficace à recommander aux parents qui amènent leur enfant pour une thérapie.
Évolution de la dynamique affective et accès à l’équilibre: récit intégral de quatre thérapies par le jeu (2013) . Bossé, M. et Guay, F. ; Groupéditions ($29,95) ou L'Harmattan (19,47 euros pour la version papier et 14,99 euros pour la version numérique).

Cet ouvrage propose le récit intégral de quatre thérapies par le jeu réalisées auprès d’enfants qui ont 4 ou 5 ans. Ces enfants posent des problèmes qui inquiètent leurs parents, notamment des difficultés dans l’interaction et la communication avec les pairs ou avec les adultes, un refus de s’alimenter ou autres symptômes : encoprésie, agitation, opposition, etc. Ces enfants arrivent donc en thérapie avec un élan maturatif manifestement en panne. De ces quatre enfants, trois sont même soupçonnés d’être aux prises avec un TED, soupçon qui ne sera confirmé dans aucun des cas; bien au contraire, il s’avérera que tous trois avaient antérieurement accédé au mode de fonctionnement affectif le plus élevé, celui attendu chez un enfant bien portant de leur âge. Le matériel présenté fait état de toutes les interactions essentielles survenues dans le cadre de ces thérapies : celles survenues entre la psychothérapeute et les enfants ou leurs parents ou d’autres professionnels impliqués dans les cas et, bien évidemment, celles constitutives de la supervision.
Le sexe du psychothérapeute et son influence en pratique infantile (2008). Bossé, M., Bissonnette, P. et Boutet, M.-C. ; Groupéditions ($29,95).

Le sexe du thérapeute influence-t-il le cours de la thérapie en pratique infantile? Si tel est le cas, de quelle manière intervient-t-il et à quel moment dans le processus revêt-il une importance particulière? La réponse à ces questions n’est pas sans intérêt pour les psychothérapeutes d’enfants comme pour ceux qui ont à référer un enfant en thérapie. Serait-il préférable en effet qu’un psychothérapeute donne préséance aux enfants qui sont d’un sexe différent du sien? Quand il faut référer un enfant en thérapie, devrait-on tenir compte du sexe de l’enfant par rapport à celui du thérapeute susceptible de le recevoir?
L’objectif du présent ouvrage est précisément de fournir aux étudiants de psychologie d’abord, aux psychothérapeutes d’enfants ensuite et, finalement, aux psychothérapeutes d’adultes un ensemble de données qui permettent d’illustrer comment la thérapie peut se dérouler selon que le thérapeute est un homme ou une femme et que l’enfant est un garçon ou une fille.
Des tout-petits mal en point jouent, parlent et…se transforment (1999). Bossé, M., Boileau, M. et Moreau, l. ; Groupéditions ($22,95).

De quoi se constitue précisément une psychothérapie d’enfant? Comment travaille le thérapeute d’enfant au fil des séances? Quel processus est mis en branle chez l’enfant qu’on amène en thérapie? Quel niveau atteint la communication entre l’enfant et son thérapeute? Quand peut-on considérer que le processus s’achève et qu’on peut lui mettre un terme? Comment l’enfant vit-il la fin de la thérapie?
Voilà autant de questions auxquelles cet ouvrage propose une réponse, non pas de façon théorique mais bien plutôt de façon « illustrée », c’est-à-dire en relatant tous les faits et gestes essentiels de deux thérapies infantiles menées à terme dans un temps relativement court et ayant entraîné des changements substantiels chez des enfants considérés au point de départ comme difficilement supportables dans leur garderie.
Cette double expérience thérapeutique est réalisée par deux thérapeutes en formation. Celles-ci sont encadrées par leur professeur-superviseur qui, séance après séance, les aide à dégager ce qui cherche à se dire chez l’enfant.
Le contexte de formation de cette expérience confère à l’ouvrage un niveau de discours qui le rend accessible à un public non initié. Il suffit pour lire ce récit d’avoir la curiosité de savoir ce qui se profile vraiment derrière les comportements dérangeants d’un tout-petit mal en point.
Modes de fonctionnement cognitif et langagier (1990)( en format PDF). Bossé, M. Éditions Cursus Universitaire ($24.95).

Cet ouvrage propose à la fois un cheminement et une perspective et ce, dans les champs combinés de l’épistémologie et de la linguistique. Il vise d’abord à mettre en relief l’aspect actif des formes diversifiées de connaissance et de langage, formes caractéristiques du sujet humain à partir d’un certain point de son développement. Il a également comme objectif d’amener le lecteur à tenir compte de cet aspect actif tout aussi bien dans l’étude des contributions en vogue dans son secteur disciplinaire que dans l’intervention auprès d’autres sujets dans sa pratique professionnelle éventuelle.
Pour atteindre ces objectifs, l’ouvrage présente un parcours qui traverse les quatre étapes suivantes : analyse des modes de fonctionnement cognitif, mise en perspective génétique de ces modes, étude des modes de fonctionnement langagier (sous l’éclairage des données épistémologiques abordées antérieurement) et confrontation du lecteur à sa propre réalité de sujet capable de connaissance et de langage. La réalisation de ce parcours implique également quelques volets critiques tant en épistémologie qu’en linguistique, volets qui visent entre autres choses à vérifier certains aspects de la perspective proposée par l’auteur.
L’une des caractéristiques les plus originales de cet ouvrage a trait à son niveau de discours : il en en effet été conçu et adapté d’abord et avant tout (mais pas exclusivement) pour l’étudiant des sciences humaines qui arrive à l’université et qui, pour profiter pleinement de ses études supérieures, doit compter autant et aussi tôt que possible sur des habiletés dites de culture fondamentale.
Le legs de F. de Saussure: tremplin ou boulet? Analyse épistémologique des positions linguistiques de Lev S. Vygotski, Jean Piaget et Jean-Pierre Changeux (Bossé, M.: 2019). Éditions Cursus Universitaire ($39,95) ou L'Harmattan (25,97 euros pour la version papier et 19,99 euros pour la version numérique).

Dans cet ouvrage, Michel Bossé se livre à une vérification de la perspective qu'il avait proposée au sujet du langage dans son ouvrage antérieur, Modes de fonctionnement cognitif et langagier, tenant compte de sa pratique et de son enseignement de la psychothérapie par le jeu. Cette vérification se réalise par une analyse critique des positions linguistiques de trois auteurs toujours bien en vue, soit en psychologie du développement de l’enfant pour deux d’entre eux, soit en neurobiologie pour le troisième. Le résultat de cet exercice est vraiment révélateur: il démontre, entre autres choses, la très grande importance de porter attention aux fondements sur lesquels repose une théorie ou une perspective; dans le champ des sciences humaines, ces fondements ont toujours une teneur épistémologique et, secondairement, une teneur linguistique.
L'auteur présente plusieurs points possibles d’application au champ de la psychothérapie. Deux de ces points sont particulièrement importants. L'auteur met en évidence la nécessité de considérer l’existence de trois registres dans les habiletés de langage: un registre verbal (oral ou écrit), un registre gestuel et un registre iconique. Ces trois registres sont très utilisés par l’enfant en thérapie et plus largement, dans l’expression de sa réalité intérieure, que cette expression soit consciente ou inconsciente. L’aisance de l’enfant dans l’utilisation des registres gestuel et iconique (dans le dessin, dans les jeux, dans les rêves, etc.) s’explique par le fait que les conduites produites dans ces registres sont très fréquentes à son entrée dans l’expression intentionnelle autour de son cinquième ou sixième mois. Leur développement et leur utilisation constituent les premiers pans de sa langue maternelle, pans sur lesquels viendra se greffer ultérieurement celui du registre verbal (oral et écrit). En retour, la prise en compte des conduites d’expression gestuelles et iconiques permet de faire entrevoir des aspects tout à fait inédits de la réalité du langage et rend incontournable la remise en cause de la majorité des positions de la linguistique générale sur le sujet. C’est l’une des particularités les plus dignes de mention de l’ouvrage.
Un deuxième point d'importance porte sur la nécessité de reconnaître la nature active et constructrice du sujet qui s’exprime, qu’il soit enfant ou adulte. La langue, pour être utilisée par le sujet, doit être reconstruite par lui mot par mot, expression par expression, règle grammaticale par règle grammaticale, règle d’intonation par règle d’intonation, etc. Bien évidemment, cette construction, le sujet la réalise en interaction avec son environnement de personnes mais il est actif tout au long du processus d’élaboration. Le respect de la dimension active et constructrice du sujet est ce qui justifie en profondeur pourquoi, dans le travail psychothérapeutique, il nous faut placer le sujet en situation de découvreur de sa propre problématique (par l’usage de la forme interrogative au niveau de l’interprétation, par exemple), la durabilité de la prise de conscience qui en découle en dépendant directement. Ainsi en va-t-il de notre style d’interaction avec les parents.